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D'un mot à l'autre (suite 1)
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Beaud57
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Re: D'un mot à l'autre (suite 1)
Rien t' évoque un bijou???????Là, j' aimerai bien comprendre?
Je n' ai pas retrouvé le texte du conte avec Hodja Nassredhine, mais j' ai trouvé une version soufis de ce conte:
Le calife vient de mourir. Alors que le trône est vide, un misérable mendiant vient s'asseoir dessus. Le grand vizir demande aux gardes de se saisir de ce loqueteux qui vient de commettre un tel sacrilège, mais ce dernier réponds :
— Je suis au-dessus du calife.
— Comment peux-tu dire une chose pareille ! s'exclame le grand vizir, stupéfait. Au-dessus du calife il n'y a que le Prophète.
— Je suis au-dessus du Prophète, poursuit le mendiant sans se départir de son flegme.
— Quoi ! Qu'oses-tu dire, misérable ! Au-dessus du Prophète, il n'y a que Dieu !
— Je suis au-dessus de Dieu.
— Blasphème ! hurle le grand vizir au bord de la crise d'apoplexie. Gardes ! Étripez ce fou sur-le-champ. Au-dessus de Dieu il n'y a rien !
— Justement, je ne suis rien.
OPÉRA ( les bijoux de la Castafiore)
Je n' ai pas retrouvé le texte du conte avec Hodja Nassredhine, mais j' ai trouvé une version soufis de ce conte:
Le calife vient de mourir. Alors que le trône est vide, un misérable mendiant vient s'asseoir dessus. Le grand vizir demande aux gardes de se saisir de ce loqueteux qui vient de commettre un tel sacrilège, mais ce dernier réponds :
— Je suis au-dessus du calife.
— Comment peux-tu dire une chose pareille ! s'exclame le grand vizir, stupéfait. Au-dessus du calife il n'y a que le Prophète.
— Je suis au-dessus du Prophète, poursuit le mendiant sans se départir de son flegme.
— Quoi ! Qu'oses-tu dire, misérable ! Au-dessus du Prophète, il n'y a que Dieu !
— Je suis au-dessus de Dieu.
— Blasphème ! hurle le grand vizir au bord de la crise d'apoplexie. Gardes ! Étripez ce fou sur-le-champ. Au-dessus de Dieu il n'y a rien !
— Justement, je ne suis rien.
OPÉRA ( les bijoux de la Castafiore)
Re: D'un mot à l'autre (suite 1)
Après ce qui essentiel, il y a ce qui rend heureux, si on a "rien " le contraire c'est un bijou, non.
"Tes yeux, où rien ne se révèle de doux ni d'amer, sont deux bijoux froids où se mêle l'or avec le fer"
"Tes yeux, où rien ne se révèle de doux ni d'amer, sont deux bijoux froids où se mêle l'or avec le fer"
Invité- Invité
Re: D'un mot à l'autre (suite 1)
Marc , ça peut aussi être le film "la triplette de Belleville"
Famille ( pour les bijoux de famille ! ) ben pourquoi j'me priverais ????????
Ah non pardon j'suis en retard , alors COMIQUE ( opéra comique )
Famille ( pour les bijoux de famille ! ) ben pourquoi j'me priverais ????????
Ah non pardon j'suis en retard , alors COMIQUE ( opéra comique )
mich42-
- Prénom : Michel
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Re: D'un mot à l'autre (suite 1)
mich42 a écrit:Marc , ça peut aussi être le film "la triplette de Belleville"
Non Michel, pas "la", mais " LES triplettes de Belleville" un excellent film de Sylvain CHOMET. j'en profile pour faire un peu de pub à un autre film de Chomet : L'ILLUSIONNISTE, d'après un scénario de Tati et avec Tati ( si j'ose dire puisque c'est un dessin animé). Le film n'a eu aucun succès, vraiment dommage, c'est un vrai bijou.
Invité- Invité
Re: D'un mot à l'autre (suite 1)
OK , oui à présent que tu me le dis !
ORNEMENT ( style d'ornement de la Renaissance )
ORNEMENT ( style d'ornement de la Renaissance )
mich42-
- Prénom : Michel
PhotoShop Eléments
Re: D'un mot à l'autre (suite 1)
Fan , tu as chopé le virus de la déconnade !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
FAUSSAIRE
FAUSSAIRE
mich42-
- Prénom : Michel
PhotoShop Eléments
Re: D'un mot à l'autre (suite 1)
MALSAIN
Le poète au cachot, débraillé, maladif,
Roulant un manuscrit sous son pied convulsif,
Mesure d'un regard que la terreur enflamme
L'escalier de vertige où s'abîme son âme.
Les rires enivrants dont s'emplit la prison
Vers l'étrange et l'absurde invitent sa raison ;
Le Doute l'environne, et la Peur ridicule,
Hideuse et multiforme, autour de lui circule.
Ce génie enfermé dans un taudis malsain,
Ces grimaces, ces cris, ces spectres dont l'essaim
Tourbillonne, ameuté derrière son oreille,
Ce rêveur que l'horreur de son logis réveille,
Voilà bien ton emblème, Ame aux songes obscurs,
Que le Réel étouffe entre ses quatre murs !
Ce texte de Ch. B. évoque la vie du poète Tasso de Capoue
Le poète au cachot, débraillé, maladif,
Roulant un manuscrit sous son pied convulsif,
Mesure d'un regard que la terreur enflamme
L'escalier de vertige où s'abîme son âme.
Les rires enivrants dont s'emplit la prison
Vers l'étrange et l'absurde invitent sa raison ;
Le Doute l'environne, et la Peur ridicule,
Hideuse et multiforme, autour de lui circule.
Ce génie enfermé dans un taudis malsain,
Ces grimaces, ces cris, ces spectres dont l'essaim
Tourbillonne, ameuté derrière son oreille,
Ce rêveur que l'horreur de son logis réveille,
Voilà bien ton emblème, Ame aux songes obscurs,
Que le Réel étouffe entre ses quatre murs !
Ce texte de Ch. B. évoque la vie du poète Tasso de Capoue
Invité- Invité
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