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D'un mot à l'autre (suite 4)
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Gedeoni 12
lolo32
Firefly
7 participants
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Re: D'un mot à l'autre (suite 4)
SCIENCE sans conscience n'est que ruine de l'âme ! ( Rabelais )
mich42-
Re: D'un mot à l'autre (suite 4)
Alchimiste
Gedeoni 12-
- Prénom : Louy
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Re: D'un mot à l'autre (suite 4)
Brouillé
______________________________________________________________________________________
Chris Firefly te salue Invité
Re: D'un mot à l'autre (suite 4)
châtiment
Gedeoni 12-
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Re: D'un mot à l'autre (suite 4)
Autodafé
Gedeoni 12-
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Re: D'un mot à l'autre (suite 4)
Hérétique
Gedeoni 12-
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Re: D'un mot à l'autre (suite 4)
BÛCHER ( quelle horreur, tout ça pour des idées, des croyances, ou simplement parce que l'on était une femme qui dérangeait))
Re: D'un mot à l'autre (suite 4)
BÉGUINE
Nom des femmes qui suivaient la prétendue hérésie des béguins, c'est-à-dire des femmes libres et intelligentes.
Contrairement à ce que l'on peut lire sur certains sites, le béguinage existait pas seulement dans les pays du nord (Pays-bas et Belgique) mais aussi en France par exemple à Paris.
P.S.
De mémoire c'est le Pape Clément V ( à vérifier) qui promulgua une "bulle" pour hérésie contre les béguines.
Gedeoni 12-
- Prénom : Louy
DXO
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Re: D'un mot à l'autre (suite 4)
LIBERTÉ
Extraits du poème de Paul Eluard
Sur tous mes chiffons d’azur
Sur l’étang soleil moisi
Sur le lac lune vivante
J’écris ton nom
Sur les champs sur l’horizon
Sur les ailes des oiseaux
Et sur le moulin des ombres
J’écris ton nom
Sur chaque bouffée d’aurore
Sur la mer sur les bateaux
Sur la montagne démente
J’écris ton nom
Sur la mousse des nuages
Sur les sueurs de l’orage
Sur la pluie épaisse et fade
J’écris ton nom
Sur les formes scintillantes
Sur les cloches des couleurs
Sur la vérité physique
J’écris ton nom
Sur les sentiers éveillés
Sur les routes déployées
Sur les places qui débordent
J’écris ton nom
Extraits du poème de Paul Eluard
Sur tous mes chiffons d’azur
Sur l’étang soleil moisi
Sur le lac lune vivante
J’écris ton nom
Sur les champs sur l’horizon
Sur les ailes des oiseaux
Et sur le moulin des ombres
J’écris ton nom
Sur chaque bouffée d’aurore
Sur la mer sur les bateaux
Sur la montagne démente
J’écris ton nom
Sur la mousse des nuages
Sur les sueurs de l’orage
Sur la pluie épaisse et fade
J’écris ton nom
Sur les formes scintillantes
Sur les cloches des couleurs
Sur la vérité physique
J’écris ton nom
Sur les sentiers éveillés
Sur les routes déployées
Sur les places qui débordent
J’écris ton nom
Re: D'un mot à l'autre (suite 4)
" Quand la vérité n'est pas libre, la liberté n'est pas vraie"
( du célèbre: Jenesaisplusqui)
( du célèbre: Jenesaisplusqui)
Gedeoni 12-
- Prénom : Louy
DXO
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Re: D'un mot à l'autre (suite 4)
Vérité toute nue
______________________________________________________________________________________
Chris Firefly te salue Invité
Re: D'un mot à l'autre (suite 4)
"LA VÉRITÉ TOUTE NUE"
- Pourquoi utilise-t-on le Conte pour parler de la Sagesse et de la Vérité?
Réponse par un CONTE.
En des temps fort anciens, la Vérité habitait au fond d'un puits, quelque part dans le désert. C'était la Vérité-Toute-Nue qui vivait là depuis des millénaires, et seuls quelques sages, ou prétendus tels, allaient parfois la contempler.
Or un jour, la Vérité décida, on ne sait trop pourquoi, de sortir du puits où elle vivait et de parcourir les villes et les villages des hommes.
Elle sortit comme elle était, c'était la Vérité-Toute-Nue !
Mais lorsqu'elle traversait les rues et les ruelles des villages des hommes, ceux-ci se détournaient d'elle par honte et par crainte. Ils n'osaient pas la regarder dans les yeux et ils ne supportaient pas de la voir ainsi nue...
Et elle, la Vérité-Toute-Nue, était très triste et malheureuse de se sentir ainsi rejetée, telle une pestiférée avec sa clochette. Et elle repartait sur les chemins, toujours plus triste et plus malheureuse...
Or, un jour où elle était encore plus triste qu'à l'accoutumé, elle fit la rencontre du Conte, dans ses beaux habits de fête, des habits chatoyants, multicolores et joyeux.
- Ah ! Bonjour Vérité-Toute-Nue, lui dit le Conte qui n'avait pas peur de la regarder dans les yeux. Mais pourquoi as-tu l'air si triste et si malheureuse ?
- C'est, lui dit la Vérité-Toute-Nue, que lorsque je traverse les rues et les ruelles des villages des hommes, ceux-ci se détournent de moi comme si j'étais vieille et laide !
- Mais tu le sais mieux que personne, Vérité-Toute-Nue ! Tu n'es ni vieille, ni laide ! Ce n'est pas cela ! Ils ne supportent pas tout simplement de te voir nue. Tiens, choisis parmi mes plus beaux habits, et tu verras...
C'est depuis ce temps là que la Vérité emprunte les plus beaux habits du Conte. Et les hommes lui font ainsi un meilleur accueil...[1]
Mais vous qui avez compris la Vérité, nul besoin d' avoir les beaux habits du Conte qui ne sont qu'oripeaux !
Osez montrer votre peau !
Contemplez, vivez la Nue Déité !
Contemplez, vivez votre Nue Déité…
[1] - D'après un conte traditionnel indien rapporté par Lobsang Rampa.
Donc le CONTE qui habille la vérité
- Pourquoi utilise-t-on le Conte pour parler de la Sagesse et de la Vérité?
Réponse par un CONTE.
En des temps fort anciens, la Vérité habitait au fond d'un puits, quelque part dans le désert. C'était la Vérité-Toute-Nue qui vivait là depuis des millénaires, et seuls quelques sages, ou prétendus tels, allaient parfois la contempler.
Or un jour, la Vérité décida, on ne sait trop pourquoi, de sortir du puits où elle vivait et de parcourir les villes et les villages des hommes.
Elle sortit comme elle était, c'était la Vérité-Toute-Nue !
Mais lorsqu'elle traversait les rues et les ruelles des villages des hommes, ceux-ci se détournaient d'elle par honte et par crainte. Ils n'osaient pas la regarder dans les yeux et ils ne supportaient pas de la voir ainsi nue...
Et elle, la Vérité-Toute-Nue, était très triste et malheureuse de se sentir ainsi rejetée, telle une pestiférée avec sa clochette. Et elle repartait sur les chemins, toujours plus triste et plus malheureuse...
Or, un jour où elle était encore plus triste qu'à l'accoutumé, elle fit la rencontre du Conte, dans ses beaux habits de fête, des habits chatoyants, multicolores et joyeux.
- Ah ! Bonjour Vérité-Toute-Nue, lui dit le Conte qui n'avait pas peur de la regarder dans les yeux. Mais pourquoi as-tu l'air si triste et si malheureuse ?
- C'est, lui dit la Vérité-Toute-Nue, que lorsque je traverse les rues et les ruelles des villages des hommes, ceux-ci se détournent de moi comme si j'étais vieille et laide !
- Mais tu le sais mieux que personne, Vérité-Toute-Nue ! Tu n'es ni vieille, ni laide ! Ce n'est pas cela ! Ils ne supportent pas tout simplement de te voir nue. Tiens, choisis parmi mes plus beaux habits, et tu verras...
C'est depuis ce temps là que la Vérité emprunte les plus beaux habits du Conte. Et les hommes lui font ainsi un meilleur accueil...[1]
Mais vous qui avez compris la Vérité, nul besoin d' avoir les beaux habits du Conte qui ne sont qu'oripeaux !
Osez montrer votre peau !
Contemplez, vivez la Nue Déité !
Contemplez, vivez votre Nue Déité…
[1] - D'après un conte traditionnel indien rapporté par Lobsang Rampa.
Donc le CONTE qui habille la vérité
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